moechanicae / mecanicae

On aurait dit qu’il ne pouvait penser qu’avec les mains, chose qui alors me semblait plus digne d’un mécanicien (et on m’avait appris que le mécanicien est mœchus, et commet un adultère au regard de la vie intellectuelle à laquelle il devrait être uni en un très chaste nœud) : mais quand bien même ses mains touchaient des choses très fragiles, comme certains codes aux miniatures encore fraîches, ou des pages consumées par le temps et friables comme du pain azyme, il possédait, me sembla-t-il, une extraordinaire délicatesse de tact, la même dont il usait pour toucher ses machines.

Peut-être dû à Hugues de Saint Victor,

Agnus

Ovis

Canor

Catus

Viriditas